Des menssonges copiés-collés.

Début 2012, une séance agendée entre le Conseil Général de Conthey et Mme Esther Weber-Kalbermatten s'est déroulée à la salle polyvalente de Conthey. Les citoyens de Conthey y étaient également invités afin de prendre connaissance de la position du gouvernement et de poser des questions concernant la réouverture du centre des Pinèdes aux orateurs présents.

Il est très intéressant de constater qu'avant l'ouverture du centre de Pinèdes, les autorités ne prévoyaient aucune augmentation d'insécurité liée à l’accueil des requérants d'asile.

Depuis l'ouverture du centre, les discours minimisateurs des autorités (par voie de presse ou autre) sur le bien être de ses citoyens est un incroyable copié-collé de la situation vécue en 2009, lors du premier fiasco d'ouverture du centre.

En 2009, il n'y avait :

jamais de problème de vol
jamais de problème de casse
jamais de problème de bagarre
jamais de problème d'infraction à la consommation des stupéfiants
jamais de dénonciation au ministère publique
...
Ou du moins très peu...

Trois ans plus tard, le chef de la police cantonale invité ce soir là, un certain Monsieur Varone, nous confiait tout le contraire, avouant tout de même, que 14 infractions de tout genre en lien avec le centre des Pinèdes avaient été commises. 14 infractions en moins de 6 mois ce n'est tout de même pas rien, surtout que ce ne sont que celles « avouées » et pour lesquelles des plaintes ont été déposées.

Mi 2012 voilà que l'histoire se répète avec :

Violences agravées sur des vendeuses
agression sur personne âgée à domicile
bagarres
vols dans les grandes surfaces à proximité,
.......

Le citoyen a le droit d'être informé de manière claire et concise des faits et méfaits commis dans et par les occupants de ce centre. Ils ont le droit à une sécurité sans faille. D'autant plus qu'à chaque intervention policière, les frais liés à la sécurité augmentent. Nous n'avons pas à devoir nous barricader chez nous, pour le bien d'opportunistes mal intentionnés et de profiteurs qui ne cherchent absolument pas à s'intégrer.

95% de personnes à renvoyer

Il est également bon de savoir que le 95% de ces personnes ne correspondent finalement pas aux critères de demande d'asile et sont donc destinées au renvoi. Dès lors, il est justifé de se demander pourquoi on doit accepter toutes ces incivilités et subir cette violence, à proximité d'une école primaire de surcroît.

Tous les villages suceptibles d'avoir leur centre

A l'image des centres du canton de Vaud, et suite au manque de places inéluctable, tout les villages sont suceptibles d'ouvrir leur centre dans leur abri PC. Ceux-ci pouvant être réquisitionnés par le canton sans l'avis de la commune. L'initiative lancée par l'UDC "Halte au dictat du canton" a pour objectif de palier à ce problème. Ces abris sont souvent proches d'écoles, de salles de gymnastique ou de centres pour les jeunes. Est-ce vraiment le risque que vous voulez faire courir à vos enfants?